Histoire et patrimoine d’Ecrouves (Meurthe-et-Moselle)
http://www.ecrouves.fr/spip.php?article25
un site référencé sur le nouvel Annuaire Historique des Communes de France
Il y a bien des années de cela, Ecrouves était encore un des villages les plus importants du vignoble Toulois. Si l’année avait été bonne, si une gelée prématurée n’avait pas dépouillé les arbres de leur feuillage et les ceps de leurs fruits, les vendangeurs pouvaient alors, au cœur de l’automne, disputer aux oiseaux, aux mouches ou aux guêpes, les lourdes grappes de raisin noir. ..
(image et extrait du site officiel de la commune… lire la suite)

Elle fut fondée au XIII è siècle (vers 1270) par Alphonse de Poitiers, Comte de Toulouse.
La Balade au fil du temps a été inaugurée le 19 septembre 2020 dans le cadre des Journées du Patrimoine.
La commune de Vigoulet-Auzil est née du groupement de deux communes créées en 1789, Vigoulet et Auzil, unies administrativement en 1842.
De toutes les communes du canton de Montbenoit, Arçon semble être la plus ancienne d’après des découvertes archéologiques datées du haut Moyen Age. Par la suite, Arçon reste partagé entre les sires de Joux et l’abbaye de Montbenoit. A la fin du XIIe siècle, une dizaine de familles sont signalées dans le hameau, les terres et les champs se développent…
Un couvent de religieux est à l’origine de la création du Village. Ce sont les seigneurs de Belvoir, de Neuchâtel et de Châtillon sous Maîche qui s’en partagent les droits féodaux. Le village est dévasté une première fois par les Suisses en 1475, il perd le tiers de ses 180 habitants à la guerre de dix ans…
C’est dans une charte de 1177 que le Pape confirme les possessions de la chapelle et des dîmes de Villars. Jusqu’en 1669, Villars sous Écot appartient à la seigneurie de Neuchâtel-Bourgogne qui a haute, moyenne et basse justice sur tous les communaux, les sujets et les héritages appartenant aux sujets de Neuchâtel…
En occitan, la commune porte le nom de Doissac (Doyssac)
Mouzens doit son nom à Mozo, chef d’une peuplade de Wisigoths qui a occupé l’Aquitaine aux IVe et Ve siècles.
« J’me présente, je m’appelle Condat » … Et oui ! Une présentation s’impose. La dame condatoise est très âgée et sans lui faire offense elle a connu bien des printemps. Bien qu’elle ne soit pas citée dans les livres d’histoire, son passé n’est pas dépourvu d’anecdotes intéressantes, du moins pour les condatois !


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