Histoire et patrimoine de Carnin (Nord)
https://www.carnin.fr/histoire-du-village/
un site référencé sur le nouvel Annuaire Historique des Communes de France
La morphologie de la commune ne s’est pas vraiment transformée au fil du temps. Outre le nombre croissant de ses habitants, seules quelques rues étaient dessinées, formant un triangle ayant pour base « La Grande Rue » – Le périmètre de ce triangle est de 1800 m. Correspondant à la RD41, il y avait avant 1945, la rue de la Brasserie qui s’appelait auparavant « le chemin des arbres »…
(image et extrait du site officiel de la commune… lire la suite)
Au Moyen Âge, la seigneurie de Capinghem ou fief de la Vichte compte comme l’une des plus importante du secteur. Elle passe ensuite à la famille Vilain de Gand dont l’illustre Maximilien, Comte d’Isenghien, est connu pour avoir sévèrement réprimé les ravages des Gueux (iconoclastes) en 1566.
Les origines du nom de notre village se perdent dans la nuit des temps. Aujourd’hui encore, plusieurs versions du nom ancien de Camphin se disputent la paternité.
Le 
Le village est mentionné au xie siècle sous la forme Smithwilre, du nom d’homme germanique Schmitt et du substantif villare, weyler, le village. À la fin du xviie siècle, il ne s’agit d’une simple ferme qui sera érigée en fief en 1723 pour Jean-Frédéric de Dithmar, receveur des finances du duc de Lorraine….
C’est grâce à une situation géographique idéale que Gaemundia va se développer. Au 8e siècle, ce n’est qu’une grosse ferme au confluent de la Sarre et de la Blies. Mais la présence d’un gué et la construction d’une route en font un lieu de passage obligé entre le nord et le sud, l’est et l’ouest. Un site stratégique…
Quant à Tramont-Saint-André, anciennement Tramont-la-Jus, et en latin Trasmons ad fontem, il en est parlé dans une charte du mois d’, par laquelle 
«Olry mentionne quelques tumuli sur la côte du Châtelet, et des vestiges de constructions gallo-romaines. Nombreuses sépultures au Tombois, dans des carrières. Au lieudit Côte de Vicheray, beaucoup de débris de tuiles et de pierres calcinées ; au Nord-Ouest, longues jetées de pierres.»…
«Olry mentionne quelques tumuli sur la côte du Châtelet, et des vestiges de constructions gallo-romaines. Nombreuses sépultures au Tombois, dans des carrières. Au lieudit Côte de Vicheray, beaucoup de débris de tuiles et de pierres calcinées ; au Nord-Ouest, longues jetées de pierres.»…
On trouve encore les vestiges d’un château féodal surplombant la rive droite du 
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