Histoire et patrimoine de Saint Mélaine sur Aubance (Maine-et-Loire)

Histoire et patrimoine de Saint Mélaine sur Aubance (Maine-et-Loire)
http://www.saint-melaine-sur-aubance.fr/index.php/Histoire-et-patrimoine?idpage=419&afficheMenuContextuel=true

un site référencé sur le nouvel Annuaire Historique des Communes de France

Les origines de Saint Melaine sur Aubance sont antérieures au Xème siècle. A cette époque l’abbaye de Saint-Serge d’Angers y établit un prieuré, dont il ne reste que le nom.
A la Révolution, Saint-Melaine devînt Aubance…

(image et extrait du site officiel de la commune… lire la suite)

Histoire et patrimoine de Saint Mathurin sur Loire (Maine et Loire)

Histoire et patrimoine de Saint Mathurin sur Loire (Maine et Loire)
http://www.st-mathurin.org/decouvrir.htm

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Né il y a 600 ans, accroché à la Grande Levée, SAINT MATHURIN SUR LOIRE est typique par son front de Loire bâti au cours des siècles derniers, par ses maisons longères renforcant la levée et ses rues plongeant vers la vallée. Le pont en fait une plaque tournante pour les communes de l’autre rive. L’harmonie des lignes de tuffeau et ardoise en font un cadre exceptionnel .La petite cité s’est transformée au cours des siècles. Sa Maison de la Loire, encore appelé “Observatoire de la Vallée d’Anjou” (ancienne gare) vous offre un exceptionnel diaporama de Loire…

(image et extrait du site officiel de la commune… lire la suite)

La rue de Bonne à Grenoble

La rue de Bonne à Grenoble

Son histoire …
Elle fut tracée par François de Bonne, duc de Lesdiguières, et la première construction de maison date de 1602, maison du sieur Jean Carles.
A la fin du XVIème siècle, la porte de Bonne fut édifiée lors de la construction de la nouvelle enceinte de Grenoble.
Elle fut détruite en 1889.

Cette porte était l’ entrée principale de la ville coté sud. C’est par cette porte que Napoléon entra au soir du 7 mars 1815, au retour de l’île d’Elbe, au début des Cents Jours.
lien vers le site Histoire pour tous
Une plaque commémore cet événement :

Parcourons la rue de Bonne…
Elle relie la place Victor Hugo à la rue Raoul Blanchard

Au numéro 12, une plaque commémore l’exécution de deux combattants FTP juifs, tombés le 16 décembre 1943 : le lieutenant Lucien Zerman, allias Lucien Samois et Jean Brievski.

Au numéro 9, ce fut la première résidence des Visitandines, avant leur installation à Sainte-Marie d’En-Haut.
Une inscription est visible au-dessus de la porte.

Au numéro 7, nous découvrons un porche ancien, surmonté d’une colombe et une inscription :

Au carrefour avec la rue Raoul Blanchard, un bâtiment porte 3 plaques distinctes (côté Raoul Blanchard) :

– La « Maison neuve » du père de Stendhal. « Chérubin Beyle, le père de Stendhal, fait construire cette maison particulièrement cossue pour Grenoble, dans laquelle la famille emménage à partir de 1805. Il y engloutira ce qui lui reste de sa fortune, réduisant à néant les espoirs d’héritage de son fils. »
– Une plaque commémorant l’occupation de cette maison : « De 1941 à 1944, André Jullien (1917-1998), Briançon dans la Résistance, utilisa son habitation familiale dans cet immeuble, comme centre de ses multiples activités clandestines : Renseignements, journaux et tracts, faux papiers, accueil de proscrits, juifs et résistants, actions de commandos. Certains chefs de la Résistance fréquentèrent ce lieu. Briançon fut nommé à la tête du service de Renseignement de l’A.S. Grenoble-Oisans »
– 24, Place Grenette – Maison construite par Chérubin Beyle, père de Stendhal

La rue Jean-Jacques Rousseau à Grenoble

La rue Jean-Jacques Rousseau est située entre la place Sainte-Claire et la Grande Rue.
Elle porte ce nom depuis 1881. Auparavant, elle s’appelait rue Bournolenc, puis rue des vieux Jésuites, et déjà rue Jean-Jacques Rousseau pendant une très courte période en 1794 (sous la Convention)

C’est à la fin de sa vie que Jean-Jacques Rousseau vint à Grenoble, sous prétexte d’herboriser dans les Alpes. Arrivant de la Savoie, par la route de la Chartreuse, il traverse le Sappey et entra en ville, à pied, avec sa boîte de fer-blanc et son vieux bonnet arménien, le 11 juillet 1768.
Il allait rester à Grenoble jusqu’au 12 août. Il avait, en ville, un ami : l’avocat Gaspard Bovier, demeurant rue Saint-Laurent

extrait de l’ouvrage »Les rues de Grenoble » Editions Glénat

 

Cette rue est relativement courte, mais riche en demeures célèbres.

– Dès le n°1, nous découvrons l’ancien hôtel de Bournolenc, devenu Hôtel de la Monnaie. C’est là que des pièces furent frappées au début du XVIIIème siècle.

Consulter cette page pour plus de renseignements sur l’ancien Hôtel des monnaies, rue Saint-Laurent à Grenoble.

 

 

 

 

 

– Au n° 2, le souvenir du passage de Jean-Jacques Rousseau à Grenoble est retracé (2 plaques)
« Au premier étage de cette maison rénovée au XIXème siècle, Jean-Jacques Rousseau habita du 12 juillet au 12 août 1768, logé par le fondeur de cloches Vachat.
Fuyant les poursuite du parlement de Paris, cherchant un asile durable, il renonça à s’établir à Grenoble. Il évoque ce court séjour dans les Rêveries d’un promeneur solitaire. » (plaque)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

– Au n° 4, voici la maison où vécut la famille de Barnave.
Antoine Barnave
est issu d’une riche famille bourgeoise protestante.
Il fut l’un des personnages importants du début de la Révolution française à Grenoble et Vizille.
Il prononce en 1783 un discours sur la nécessité de la division des pouvoirs

 

 

 

Au n° 5, une devanture ancienne attire notre regard « COLIN Frères » Bijouterie, Joaillerie, fantaisie …
Nous n’avons malheureusement aucun élément à fournir au sujet de cette boutique.

 

 

– Au n° 7, restent quelques vestiges d’un hôtel particulier : un porche à accolade, une colonne et le départ d’un arc, chapiteau et entablement. Une statue de guerrier velu, décapité, qui tient une massue tout en se protégeant avec un écu.
Il reste de même les traces d’une inscription latine « Ebve Vegnaq 3 Posse ».

 

 

 

 

 

 

 

– Au n° 14, voici la maison natale de Stendhal (Henri Beyle). Il naquit au 2ème étage de cette demeure.
Stendhal (Henri Beyle) naît le 23 janvier 1783 dans cet appartement situé au 2ème étage, propriété de son père, Chérubin Beyle, avocat. Sa mère, Henriette Gagnon, y meurt en 1790. Il y connaît le bonheur de l’enfance, le chagrin du deuil et la souffrance d’une éducation trop rigide.

 

 

 

 

– Au n° 15, une superbe demeure attire l’attention. Elle fut construite par Jean Rabot, président du parlement du Dauphiné en 1435. La librairie Arthaud s’y est installée et nous fait admirer la magnifique montée d’escalier.
La famille Rabot est une lignée de grenoblois issue d’un modeste notaire de Crest, entré au parlement en 1495, enrichie par de judicieux mariages.
Au milieu du XVIème siècle, elle put ainsi faire entièrement reconstruire l’hôtel de l’actuelle rue Jean-Jacques Rousseau.
Rappelant les « oriels » alsaciens, l’avancée à trois pans repose sur une voûte surbaissée sous laquelle se trouvait un puits. Le décor de pilastres et d’arcatures de la balustrade évoque la cour de l’hôtel Bullioud à Lyon, construit par le grand architecte Philiobert Delorme. (plaque)
Trois rois de France y séjournèrent : Charles VIII, Louis XII et François Ier.

– Au n° 16, voici l’hôtel de Jacques Bourgeois, procureur à la cour.
Cette demeure fut construite en 1600 devint ensuite l’hôtel Coufier de Maille. La porte sculptée est superbe.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

– Au n° 20, nous pouvons admirer une superbe porte en noyer massif, refaite en 1992.
Une inscription attire le regard. On y retrouve 5 mots pouvant se lire à droite, à gauche, en haut et en bas. Le mystère demeure sur l’interprétation de ces 5 mots : SATOR , AREPO , TENET , OPERA , ROTAS.

Histoire et patrimoine de Rocles (Lozère)

Histoire et patrimoine de Rocles (Lozère)
http://rocles-lozere.fr/le-village/histoire/

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Situé sur la côte sauvage du Lac de Naussac. Rocles était jadis un Prieuré dépendant de Pradelles. Son église fut en partie réédifiée à la fin du siècle dernier. Sainte Thècle en est la patronne.
Une salle commune est mise à la disposition des habitants du village pour l ‘organisation de lotos, de réunions familiales, de rencontres du 3ème âge. Rocles dispose également d’une école d’une dizaine d’élèves.
Fête du village à la mi-septembre, pour la Sainte Thècle, avec la traditionnelle maoutcho (plat typique de Rocles).
Depuis le dernier recensement de 1999 à 2008, la population est passée de 197 à 209 et a fortement augmenté de 6,09%…

(image et extrait du site officiel de la commune… lire la suite)

Histoire et patrimoine de Rimeize (Lozère)

Histoire et patrimoine de Rimeize (Lozère)
http://www.rimeize.fr.sitew.com/#Commune.A

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A l’intérieur du blason se trouvent :

  • Les armes des Barons d’APCHER : d’or (jaune), au château de trois tours de gueules (rouge), deux haches, l’une à droite de la tour centrale, l’autre à gauche de celle-ci.
  • Les armes des Barons de PEYRE : d’argent (blanc) à l’aigle éployé de sable (noir)…

(image et extrait du site officiel de la commune… lire la suite)

Histoire et patrimoine de Rieutort de Randon (Lozère)

Histoire et patrimoine de Rieutort de Randon (Lozère)
http://www.terre-de-randon.com/les-communes/rieutort-de-randon.html

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Sites et curiosités : architecture rurale typique : murs de granit, et toitures en schiste ardoisier.
Eglise de style roman.
Anciens moulins utilisant la force hydraulique.
Menhirs et croix de carrefour.
Source et chapelle de St Férréol, lieu de culte gaulois christianisé.
Ruines de “castrum” primitif de Randon sur le sommet du nom…

(image et extrait du site de la CC Terre de Randon… lire la suite)

Histoire de Saint-Sernin (Lot-et-Garonne)

Histoire de Saint-Sernin (Lot-et-Garonne)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Sernin_(Lot-et-Garonne)#Histoire

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Un tumulus a été découvert au lieu-dit du Roc et le refuge de Castelgaillard attestent d’une présence ancienne sur la commune. On peut aussi noter l’église romane de Lubersac qui date du XIIe siècle.

(source wikipedia)

Histoire et patrimoine de Saint Pardoux Isaac (Lot-et-Garonne)

Histoire et patrimoine de Saint Pardoux Isaac (Lot-et-Garonne)
http://www.paysdelauzun.com/fr/saint-pardoux-isaac.htm

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Jusqu’au XVe siècle, Saint Pardoux et Isaac étaient deux localités distinctes. L’union de ces deux bourg, symbolisé par une lettre du Pape clèment V datée du 19 novembre 1306, donna naissance à une localité unique. Aprés la révolution, le village devint une commune, qui au fil du temps, se dota de nombreux commerces. En 1803, saint-Pardoux fut rattaché au canton de Lauzun…

(image et extrait du site de la CC du Pays de Lauzun… lire la suite)

Histoire et patrimoine de Saint Colomb de Lauzun (Lot-et-Garonne)

Histoire et patrimoine de Saint Colomb de Lauzun (Lot-et-Garonne)
http://www.paysdelauzun.com/fr/saint-colomb-de-lauzun.htm

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u coeur de la Guyenne, Saint-Colomb-de-Lauzun est un village où la nature et l’architecture se côtoient harmonieusement. La commune doit son nom à Saint Colomban qui, de retour d’Irlande, aurait prêché dans la région. C’est un village qui invite à la flânerie et à la douceur de vivre. Le prunier d’Ente règne en maître ce qui ravit l’oeil lors de sa floraison en avril…

(image et extrait du site de la CC du Pays de Lauzun… lire la suite)